Bobi
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Tout d’abord bonjour Madame ou Monsieur la correctrice.
Ca gazouille ?
Etant candidat libre, je dois avouer que, faute de renseignements de l’Education Nationale, je n’ai pas lu Perceval ni Le Procès de Kafka.
De quoi parler donc ?
Le dernier livre que j’ai lu est « la culotte de feuilles », un roman érotique très efficace puisqu’il donne le zizi tout dur.
Le livre traite de la beauté intérieure des femmes que pour la connaître, il faut rentrer à l’intérieur.
J’ai appris plein de choses en lisant « le culotte de feuilles ». Par exemple, bisexuel ne veut pas dire faire l’amour 2 fois par an mais qui aime les 2 sexes. Je ne suis donc pas bisexuel.
Et stéréosexuel, ça veut pas dire « draguer à droite à gauche ».
Mais il faut dire que j’ai été dépucelé très tard car ma maman ne voulait pas être ma première copine alors que quand j’avais 10 ans, elle voulait bien se marier avec moi.
« La culotte de feuilles » parle aussi de double pénétration appelée communément « double péné ». Jusqu’à y a pas longtemps, je croyais que les doubles pénés étaient une recette de pâtes italiennes.
Dans ce livre tous les hommes sont polissons et polymeufs. Ca n’arrête pas dans tous les coins mais moi j’aime bien ça parce que je suis un obsédé sexuel romantique et que je suis bien incapable de violer une jolie fille avec un jean moule-moule taille basse et le coupe-crotte qui dépasse.
Pourtant une pipe, ça n’engage à rien et ça entretient l’amitié.
Ce que ce livre explique bien et que les femmes ignorent, c’est que le plus important n’est pas la taille du sexe… mais le goût. Et dire qu’il existe des femmes qui ne pratiquent pas la fellation. Un des gros scandales dénoncés par ce livre.
Le livre fait aussi honneur aux péripathétiputes et je dis bravo car moi aussi j’aime les putes mais attention ! j’emploie ce mot sans vulgarité. Ce sont des femmes comme les autres, des perles méritant tout autant d’être enfilées.