Boris vian biograpgie
Son esprit de corps ouvert se traduisait aussi selon l’équation pour le moins rationnelle dévolue aux arts et expressions en liberté, lorsqu’on lui posait la question sur la raison pour laquelle il avait suivi une formation d’ingénieur à l’Ecole Centrale. « Parce que c’était une école où on l’on pouvait tout apprendre ».
Il apprendra toute sa vie à se démarquer, quitte aussi à déplaire au point d’être rayé voir railler par les éditeurs, le trouvant sans doute trop avant-gardiste. Il souffrira de l’arrogance des publicateurs, imprécateurs, prédicateurs censeurs sans égard pour son génie. Comme un boomerang son succès posthume rira bien qui rira le dernier, sauf que ce trop cher Boris se repose désormais dans sa tombe le cœur léger à trinquer à la bonne santé de son œuvre littéraire adulée ! Merdre de merdre, quel hurluberlu ! Même ses aminches qui se démenaient pour lui étaient impuissants contre la machine commerciale à broyer la littérature en liberté. Ainsi Raymond Queneau (encore un matheux de formation, étonnant non