Bouilleur de cru
Didier Nourrisson
Bouilleur de cru : patrimoine vivant. Il a bonne réputation, personnage emblématique du village. Trouvable dans les archives dès le XVIIème siècle. ils bénéficient d'avantages fiscaux (pas d'impôt sur leur alcool dit "domestique"). A partir du XIXème siècle les français se mettent à boire un peu plus souvent. Ils apprécient les alcools de plus en plus fort.
Au XIXème siècle, double figure, à la fois le bon paysan, bon buveur, notable mais aussi un personnage qui contourne la loi et qui fait beaucoup plus que ce qu'il est autorisé de faire. Existe encore de nos jours. on commence à distiller l'alcool en novemre après les vendanges. Considéré comme l'assistant de l'alambic. Il est fortement représenté, aricaturé et mis en carte potal au début du XXème siècle. Surtout en Normandie, terre de prédilection de bouilleurs de cru. Traditionnelement ils allaient de ferme en ferme pour faire leur travail (alambic munit de roues).
Alambic transformé en personnage mécanique.
Le bouilleur de cru maitrise l'art de la distillation. Art maintrise depuis les égyptiens mais oublié par les européens. Revient quand ils commencent à fréquenter les arabes.
Les appareils vont être de plus en plus sophistiqué. L'alcool de coeur est l'acool éthylique, celui qui a le meilleur goût.
Principe : source de chaleur sur laquelle on met un chaudron remplit d'alcool. Le vin cuit va passer dans un col de signe et passer dans un srpentin. Il est ensite nécessaire de la refroidir. Il faut faire attention à prendre le produit de coeur, ni le début, ni la fin du travail. Mélange de fascination et de magie. Ajout à la charge affective.
LAngue du bouilleur de cru :
La blanche (brunit par la suite),
Le brûlot : pour qu'un alcool soit de bonne qualité, on le monte à 70° avec deux distillation : la petite eau retourne dans le chaudron (50°) puis cela monte à 70°), la goutte : terme beaiucpo employé
, la gnôle : terme du sud