Brain drain
La fuite des cerveaux est un phénomène datant de 1960 jusqu'à nos jours. Ce phénomène s’explique par une migration d’individu ayant des qualités. Ce derniers pourrait les mettre à profit mais il est souvent soit approché par des entreprises étrangères dès la fin de ses études ou même avant, soit ses études l’oblige à aller à l’étrangers, soit il voudrait lui-même aller à l’étrangers à cause des conditions plus favorables.il désigne de façon populaire les flux migratoires des scientifiques et des chercheurs s'installant à l'étranger pour trouver de meilleures conditions de vie, de travail ou de rémunérations. L'expression brain drain a été créée par les journaux de sensation britanniques au début des années 1960. Elle désignait la migration qualifiée de façon péjorative, comme une perte économique, et faisait référence à l’émigration des scientifiques britanniques vers les États-Unis. Comme aucune donnée n'était disponible pour étayer le nombre des départs et encore moins leurs conséquences économiques, la Royal Society a commandé une enquête qui fut publiée en 1963. Selon les chiffres fournis dans ce rapport, 13 % des PhD formés dans la décennie précédant l'enquête avaient émigré et parmi ceux-ci, moins de la moitié s'étaient rendus aux États-Unis, soit moins de 6 % du total des PhD. Selon une autre enquête citée dans le rapport, trois quarts des scientifiques partis aux États-Unis étaient de retour en Grande Bretagne. Toutefois, les États-Unis continuèrent à être accusés de "parasiter les cerveaux d'autres pays, une accusation à laquelle se rallièrent d'autres pays développés, tels les puissances européennes, l'URSS, Israël, Australie etc. Malgré de nombreux études de cas par pays, une évaluation empirique systématique du stock des migrants qualifiés dans les pays de l'OCDE n'est apparue qu'à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Ces études définissent la "fuite des cerveaux" par le taux des départs parmi les personnes ayant au moins