Rédactions Lorsque le calife eut finit de manger, il se leva. Et sans adresser ni une parole, ni un regard à ses convives il retourna à son palais. Une fois arrivé, il s'enferma dans une de ses chambres ordonnant aux gardes qui surveillaient l'entrée, de ne laisser entrer personne sous aucun prétexte. Après avoir longuement médité, il envoya un de ses nombreux serviteurs chercher les deux cuisinier, et un deuxième chercher tout les convives qu'y avait été présent au deux banquet, il ordonna aux deux d’amené tout ce monde dans la grande salle de réceptions du palais.

Une fois tout le monde réunis, le calife monta sur l'estrade est déclara :
Cher invités, si je vous ais réunis aujourd'hui, c'est pour, comme vous le savez, choisir mon nouveau cuisinier. Il se trouve que j'avais organisé un concours pour savoir qui en était le plus digne, mais il est évident que l'un deux à triché, aussi, même si les deux repas étaient tout aussi bon, je ne tolérerais pas qu'un tricheur deviennent le chef de mes cuisines, de plus ce tricheur a aussi gâché mes banquets, il mérite donc d'être punis. Je ne pense pas que le premier cuisinier à nous avoir préparer ce banquet soit coupable car il est passé une semaine avant le second est ne savait donc pas ce qu'il allait préparé. J'aimerais donc qu'il viennent ici et s'explique. Le calife avait prononcé tout cela très lentement, mais tout les convives présent voyaient qu'il cachait sa fureur et se retenait de ne pas faire exécuté immédiatement le second cuisinier. Celui ci, tremblant comme une feuille, se leva et sentant que tout les regards étaient tournés vers lui, devint rouge écarlate. Il tremblait tellement qu'il eut du mal à marcher et des gardes durent l'aider pour gravir l'escalier qui menait à l'estrade. Une fois là-bas, le cuisinier, toujours en tremblant car il avait compris que sa vie dépendait de ce qu'il allait dire, s'inclina devant le calife. Le cuisinier, qui était d'une assez grande renommée, et qui