Brise marine
I- L'appel du voyage, l’abandonnement de son environment.
a) Une constatation désillusionner
Nous retrouvons le refus de l’environnement actuel :
Au vers 1, l’interjection « hélas » donne une note de désespoir.
Au début du poème, l'auteur exprime son désir de partir en utilisant l’impératif : « Fuir ! la bas Fuir »
Mallarmé fait deux marque: la première sagit sur le manque de joie, de sensualité : « la chair est triste ». La seconde marque l’absence d’intérêt pour la lecture “j'ai lu tous les livres”, peut dire qu’il n’apprend riend de nouveau dans ce stage ci de sa vie et de sa carriere, et montre un lack de motivation physique et mental et l'ennui.
b) Le refus de son environment
Il veut se couper d’une situation familiale :
Au vers 8, Mallarmé emploie l’adjectif possessif l’article défini « la jeunne femme» pour qualifier sa propre femme,et defini sa fille « son enfant” , qui est ne en 1864 un ans avans le poeme, comme s’il cette enfant n’etait pas le sien. Peut etre qu’il les nie parceque sa femme ne peut plus lui donner la meme attention, le meme amour parce que maintenent elle doit aussi s’occuper de son bebe. Alors je pense qu’il se sent neglecter et seul. Tous les éléments qui pourraient le retenir ne s’ont pas assez pour le retenir. Donc, la seule solution est un voyage vers un ailleur exotique.
II- Le voyage rêvé
a) Le voyage désiré se traduit par :
Le voyage rêvé est voulu ( avec la double exclamation "fuir! là-bas fuir!" + verbes partir), il veut s’en aller vers des aspects exotiques. L'image des oiseaux est révélatrice (elle implique la liberté). Le désir de partir est évoqué plusieurs fois dans le texte : avec la récurrence du verbe « fuir » ;
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