Britannicus

1. Acte 2 scène 3

Dans l’acte 2 scène 3 dans Britannicus, la confrontation entre Junie et Néron est une prémonition à la naissance de la « monstruosité » de Néron pour plusieurs raison :
* Néron des le début de la scène, dans le premier vers implique le fait que même ses yeux annonce de mauvais présage : « Lisez vous dans mes yeux quelques triste présage ? », ainsi il met en avant que de lui-même ressors des idées mauvaise.
* De plus dans les vers 539 à 552 Néron accuse Junie d’être coupable alors qu’en réalité tout est de la faute de Néron. Il lui dit qu’elle devrait l’aimer lui plutôt que Britannicus. Il devient des lors autoritaire et semble apparaître comme quelqu’un qui ne se voie rien refuser. Pour terminer sur cette partie dans le vers 622 il n’acceptera de Junie que son accord pour sa main, en aucun il lui demande en réalité son avis, elle n’a pas le choix.
* Pour continuer il exprime son désir de vouloir faire ses propres choix et de ne plus dépendre de sa mère ainsi commence à naître son avis de pouvoir et de domination : « Ce n’est point par leurs choix que je me détermine ».
* On peut continuer sur le fait qu’il se flatte et s’élève : « Je vous nommerai, madame, un autre nom/ Si j’en avais au-dessus de Néron » dans cette même idée il pense que Junie ne peut être aimé que par lui. Personne a pars peut être Junie n’est acceptable pour lui « l’héritier ».
* Pour terminer dans les derniers vers, Néron demanda à Junie de parler à Britannicus, de faire en sorte que celui-ci abandonne toute idée de s’intéresser à elle. C’est une tâche cruelle que Néron dans les actes suivant prendra plaisir à écouter car c’est ainsi demander à Junie de trahir elle-même l’amour de Britannicus.
Des lors Néron apparaît comme un monstre pour ces différentes raison, nous découvrons enfin le vrais visage de Néron.

Dans cette scène Junie à une attitude plutôt sereine tout en étant surprisse et inquiète au début elle interrogera simplement Néron