Brouillon avec piste de commentaire : l'etrangé d'albret camus chapitre 4 partie1
« […] à quelques kilomètres d'Alger, sur une plage resserrée entre des rochers et bordée de roseaux du côté de la terre. ». C'est ainsi, à quelques mettre de l'eau que Meursault et Marie se retrouvent un samedi après-midi sous un « soleil de 4 heures […] pas trop chaud ». Par ces phrases descriptives l'auteur place les deux amoureux dans un cadre propice à une entente bien visible. De plus celui-ci favorise l'intimité, en effet le narrateur évoque personne autour d'eux, ces derniers sont éloignés du monde. Ce beau décor est renforcé par de longues phrases descriptives sans grandes ponctuations qui amène une atmosphère calme et paisible. Ce décor complaisant est à l'image de la beauté de son amie, Marie. Marie :
Nous voyons Marie à travers le regard de Meursault qui ne la décrit jamais mais la symbolise par son corps et son rire : « un visage de fleur », « sa bouche contre la mienne », « avec des yeux brillants » rentrant dans le champ lexical du corps humain que l'on retrouve plusieurs fois , se répétant, et que Meursault présente avec des figures de style et adjectifs qualificatifs mélioratifs. Et par le rire de Marie le héros amène de la joie à sa relation et ce moment : «Quand elle a ri, j'ai eu encore envie d'elle. » ou encore « elle a encore ri de telle façon que je l'ai embrassée ». En effet la relation entre Marie et Meursault est une relation qui semble surtout charnelle faite d'une attirance physique. Quand Meursault exprime ses propres sensations devant la beauté de Marie, il emploi beaucoup de lyrisme : « on devinait ses seins durs et le brun du soleil lui faisait un visage de fleur ». Par ailleurs on trouve une harmonie du corps entre Marie et Meursault : « Marie m'a rejoint alors et s'est collée à moi dans l'eau. » on peut remarqué quelques répétitions qui renforce cette intimité : « Elle a mis sa bouche contre la mienne », « je l'ai tenue contre moi », ici la répétition de « contre ».
Pour terminer Meursault décrit