Brutalité policière
Pour commencer, il faut bien comprendre ce que signifie le terme brutalité. En ouvrant un dictionnaire, la définition de brutalité y trouver fait directement référence à l'utilisation de force excessive ou l'attaque verbale par des agents de police contre des citoyens, selon le comité des droits de l'homme de l'ONU déclarée dans son rapport sur le canada en date du 2 novembre 2005 : « La police, en particulier à Montréal pratique des arrestations de masse de manifestants. » Ainsi, la majorité des victimes de brutalité policière sont innocentes et n'ont jamais provoqué l'agent. Ils se trouvent dans des situations et ils ne savent pas trop comment réagir. Il y a plus de 2500 arrestations à caractère politique au Québec depuis 1999 et la majorité est à Montréal, déclarée dans le même rapport de l'ONU. En bref, les arrestations et violences se produisent et se multiplient au cours des années pour des raisons et des causes quelconques.
En fait, dans la majorité des cas la brutalité est causée par les hauts dirigeants. Le recours à la force en manifestation est l'un des principaux causses de brutalité policière. Pierre-Paul Pichette, le directeur adjoint du SPVM a annoncé à une chaîne de télé québécoise durant les événements de la grève : « Pour nous, les arrestations de masse sont toujours de dernière alternative. On fait ça seulement quand il y a des débordements majeurs pendant une manifestation. » Pourtant, plusieurs vidés amateurs filmés durant les mêmes évènements et publiés sur Youtube présentent des groupes de policiers