Bruyère
introduction
La Bruyère est un auteur qui s'en prend a divers types sociaux ou types humains. Il s'attaque à la société. Dans ce texte et sans qu'il y est d'ambiguïtés il prend comme sujet la cour de Versailles et en fait une peinture pousse au noir.
I/ point de vue
Le texte se présente a nous comme une énigme mais facile à résoudre non-seulement pour le lecteur du chapitre intégrale intitule "de la cour" mais énigme transparente aussi pour le lecteur d'un extrait de ce chapitre.
a) la question du point de vue ne va pas de soi, s'il est facile de voir Versailles, il n'est quand même pas évident de le voir. on s'aperçoit que le narrateur n'utilise jamais la première personne du singulier. Il utilise "on" a 3 reprises. Qui est désigné? il semble que le narrateur rapporte un point de vue. le narrateur de ce texte serait peut-être un personnage qui n'aurait pas fait ce voyage. La dernière indication géographique permet de supposer que le narrateur est un iroquois qui cite le témoignage d'un des iroquois qui aurait fait le voyage.
b) Dans la mesure où c'est un point de vue de deuxième main on comprend le caractère flou des indications géographiques, caractéristiques imprécises du vocabulaire. Terminologie vague pour masquer Versailles. L'idée qui s'impose est qu'il est loin de ce qui est observe. Les deux univers entre le narrateur et ce qu'il dit n'ont pas grand rapport.
c) Cela explique "la naïveté" du point de vue. A première vue cela est fait sans plan. Les hommes et les femmes, la perruque et enfin les grands et le roi dans la chapelle royale. Masse des courtisans au début et ensuite les grands. Nous décelons mal le texte, le narrateur utilise le procédé de la parataxe, absence de lien entre les phrases, un texte descriptif pas vraiment argumentatif prouve la naïveté.
d) recours aux paragraphes, il évite la précision, donc un homme qui raconte le récit d'autres hommes. Il utilisera: "peindre" au lieu de "maquiller"