En mai, un vol de la Floride à destination de Manchester a été forcé de mettre bas pour éjecter Bryan Neal, qui avait beaucoup bu. Après l'aviron avec sa petite amie, Neal se plaignait qu'il avait déjà vu le film en vol et est devenu furieux lorsque l'équipage de l'air a refusé de lui servir un autre verre, puis il est devenu fou, brisant une fenêtre intérieure et menaçant d'écraser une autre à l'extérieur tout en hurlant. "Vous allez tous faire sucer et mourir" nous sommes à s'habituer à ce sujet. Il semble que presque tous les jours les journaux sont pleins d'histoires sur déchaînés passagers aériens, les automobilistes se sortir de leurs voitures pour prendre des balançoires à l'autre ou les gens dans les supermarchés, bagarres à la congélation contre.
Oliver James, le psychologue clinicien et auteur de "la Grande-Bretagne sur le divan» a mis au point une théorie pour expliquer le raccourcissement de notre fusible collective. Au fond, dit-il, il est simple fait que, même si en tant que nation, nous sommes plus riches que nous étions il ya cinquante ans nous sommes, par tous les index malheureux; infecté par un sentiment collectif de malaise et d'insécurité, un abaissement des esprits qui trouve son expression dans la dépression et de l'agression.
En termes neurologiques, nous sommes devenus "une société à faible sérotonine».
La sérotonine est une substance chimique dans le cerveau, qui reflète à quel point nous nous sentons nous-mêmes et le monde autour de nous.
Notre chimie du cerveau, dit James, les changements en fonction de notre expérience extérieure; à sa plus simple expression, le favori de vos scores équipe de football, vos modifications chimie, vous donnant un sentiment d'exaltation. l'intervenus dans la société au cours des cinquante dernières années, soutient-il, ont contribué à un collectif abaissement de taux de sérotonine. Argument James est que nous avons deux instincts de base qui doivent être satisfie pour une vie heureuse: de demander le