Bts culture générale
Devoir 2
Première partie : Synthèse
A la question « peut-on rire de tout », Pierre Siankowski répond dans son article tiré du magasine « Label France » n°56 en 2004, oui mais pas n’ importe où et avec n’importe qui tandis qu’en 2010, Elodie Emery dans son article extrait de marianne2.fr, nous invite à réfléchir sur les comiques d’autrefois et ceux de notre temps. Selon elle, de nos jours, ils ne sont plus libres de rire de tout et ils se mettent eux même des limites à ne pas franchir. Quand à Jonathan Swift, auteur du roman « Modeste proposition pour empêcher les enfants des pauvres d’être à la charge de leur parent » publié en 1729, on remarque que ce roman est certainement le summum de l'ironie en littérature. Sa proposition pour éradiquer la misère des campagnes irlandaises est simple : consommer, en guise de viande, les enfants des pauvres dès qu'ils atteignent l'âge d'un an. Un blog propose une image caricaturant un médicament commercialisé depuis 1976 et ayant pour but de guérir le diabète. D’après l’image, le médicament est comparé à un film d’horreur ou de nombreux meurtres atroces sont commis car ce médicament aurait tué également beaucoup de personnes. Peut-on de nos jours, réellement rire de tout ou bien avons-nous des limites à ne pas franchir sous peine d’être accusé d’injure ou de diffamation ?
Le rire apparaît comme un élément essentiel dans la vie des gens.
Cependant, Pierre Siankowski évoque dans son article que l’on peu rire de tout mais en choisissant les personnes avec qui l’on veut rire de ces choses. Toutes les personnes n’ont pas le même humour alors pour qu’une blague puisse faire rire la personne avec qui l’on est, il faut pour cela que celle-ci est le même humour que le nôtre. Or d’après l’auteur la limite entre le « drôle » et le « pas drôle » est très mince.
Selon lui, la Constitution donne droit à la liberté d’expression, or avec le triomphe du « politiquement correct »,