Bursky 99 cents
Aujourd'hui, à l'époque ou l'ère du numérique retentit de toutes parts la photographie est devenue banale. L'oeuvre d'art a perdu son aura.
La photographie est donc l'enfant de cette production de masse qui par voie de conséquence entraine la consommation de masse. Celle ci est tout de même celle qui permet une représentation à l'identique du réelle et inhibe toutes les imperfections de la main. Elle entraine ainsi une implication d'autant plus importante du public qui se sent totalement plus concerné. Il ne contemple pas la technique qui lui semble anodine mais bien le thème et les idées qui l'amène à la réflexion.
L'aura disparaît. Mais la photo touche plus elle permet de voir la réalité avec par exemple la fondation louis khan.
L'on ne doit pas oublié le pouvoir de propagande d'une image. Ici on pourrait penser à de la propagande avec ses couleurs mais finalement elle recèle une idée.
Cette image peut être perçu comme une propagande avec ses couleurs elle aurait presque un trait de publicité alléchante. On nous déconnecte du réelle pour que l'on s'en rende d'autant plus compte.
Ici grâce au numérique c'est une image que l'on aurait pu prendre par nous même ainsi à l'heure de « l'oeuvre d'art et de sa surproductibilité technique » on doit se requestionner quant à l'essence de l'oeuvre soit son thème. C'est ce que nous aborderons dans cet exposé.
le sujet de l'oeuvre
Aujourd'hui l'oeuvre d'art nous amène à nous questionner, en effet au delà de son côté annodin un effet plus pervers se cache derrière.
CONSOMMATION DE MASSE, L'ART DE PLACER LA MASSE COMME EXPERTE DU SUJET
Cette photo nous pose la question de la consommation de masse. Nous sommes dans une ère des masses et celle ci ne fait que s'amplifier.
La consommation de masse n'est pas d'aujourd'hui et un artiste l'a bien compris il y a quelques décennies.Andy Wharol ne naquit pas artiste de géni, il fut publicitaire et par la suite voulu