Commentaire d'un extrait de La Curée d’Émile Zola (1840-1902) chapitre 1 :L'extérieur de l'hôtel d'Aristide Saccard de « renée lentement » à « mordit une des feuilles amères »

introduction :
Le roman La Curée d’Émile Zola parue en 1972 groupe « l’or et la chair ». Dans cet extrait dans un première partie Zola fait une description de la scène puis dans un deuxième temps nous fait part de la jalousie de Renée envers Maxime et Louise. Dans une deuxième partie, on expliquera la description de Zola puis dans une deuxième partie on montrera en quoi cet extrait définie la note de la chair et de l'or de la Curée et comment Zola a construit cet extrait.

Le texte est en grande partie écrit à l'imparfait ce qui donne une vision analytique ; l'action est en cours de déroulement, elle n’est pas limité, le tempo est ralenti, il s'agit donc d'une description. Le texte descriptif n’a pas d’ordre particulier : le romancier compense cette absence d’ordre par une structuration visible de la description. Au début de l'extrait, Zola décrit Renée, sa tenue vestimentaire, où elle se trouve, à quoi elle pense. Zola décrit la tenue de Renée avec plusieurs comparaison et métaphore, elle porte une robe de couleur verte avec laquelle est ressemble à un nymphéa comme si elle était une grenouille sur sur un nénuphar regardant se qui ce passe autour d'elle, à une fleure, Renée étant dans une serre.
Zola fait de Renée le porte-regard. Le narrateur développe le point de vue de Renée, c'est une focalisation interne. On est dans l'esprit de Renée, e n'est pas réaliste, il y a que le grand Sphinx de marbre noir qui la comprend. Zola compare Maxime au grand Sphinx de marbre noir. Un sphinx est un monstre mythologique doté d'un corps de lion et d'une tête de femme. Maxime faisant souffrir Renée de jalousie profonde, on peut l’assimiler à un monstre, et dans plusieurs points de son caractère ressemblant à une femme, on comprend alors la comparaison avec un Sphinx.
Renée tient énormément