Malongo, l'histoire d'une passion... | | 1934C’est en 1934 que les cafés Malongo voient le jour avec une petite brûlerie située au cœur de Nice. Très rapidement, la torréfaction journalière passe de 25 à 100 kilos ; pour la distribuer, de petites camionnettes remplacent les bicyclettes. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, la marque est lancée sur les ondes radiophoniques. L’émission « La pastrouil de Tante Victorine » la met à l’honneur et contribue à sa notoriété régionale. Les ventes se propagent sur un rayon de 100 kilomètres autour de Nice et la production annuelle grimpe à 40 tonnes. C’est en 1952, que l’entreprise devient la Compagnie Méditerranéenne des Cafés Malongo. Elle est alors le premier torréfacteur des Alpes-Maritimes et rayonne dans tout le sud-est de la France. A Marseille, Toulon et Aubagne, des agences sont créées.Quatre produits fondent alors sa renommée : « l’express » dans son emballage vert, le « goût italien » dans son emballage violet, le « goût français », jaune, et « décaféiné » rose. | | | 1962Monsieur Fulconis et Monsieur Liprandi qui dirigent alors la société lancent les boîtes métalliques sous vide. Mais les clients ne sont pas prêts à ce nouveau type de conditionnement et les ventes chutent. Deux ans plus tard, elles remontent à leur niveau d’origine pour le dépasser. | | 1968marque un nouveau tournant dans l’histoire de la société. Monsieur Hugo Rombouts la rachète et accélère son développement. C’est à cette époque que commence la conquête du marché de l’hôtellerie et de la restauration. | | | 1980l’usine est transférée de la route de Turin à la zone industrielle de Carros. La direction générale est confiée à Monsieur Jean-Pierre Blanc.Les années qui suivent sont difficiles : les cours du café sont hauts et la société ne veut pas augmenter le prix de ses produits. Pourtant le succès revient avec le lancement des boîtes « Pures origines », « Grande réserve » et « Suprêmo ».Les premières