Cafés littéraires
Salons, cafés, journaux (Correspondance littéraire de Grimm), clubs et académies (28 fondées en province de 1715 à 1789)
Académie de Dijon : Rousseau a une réputation de polémiste
Répandre les idées d’une élite intellectuelle issue de la noblesse et de la grande bourgeoisie. Un café littéraire est un lieu de réunion où l’on parle de littérature, échange des idées, écoute des extraits de livres lus par des comédiens, assiste à des spectacles érudits en dégustant un café ou une boisson. Le rôle des cafés à cette époque était d’avoir une meilleure réputation, et c'est à cette fin que l'on invitait l’élite des philosophes, des écrivains, etc. Les personnes présentes peuvent alors s’instruire et donner leurs opinions politiques. Comme ces salons littéraires furent presque toujours présidés par des femmes, l’histoire des premiers ne peut s’envisager indépendamment des secondes. C’est dans le salon de ces femmes distinguées par l’esprit, le goût et le tact que s’est développée l’habitude de la conversation et qu’est né l’art de la causerie caractéristique de la société française. Ces salons où l’on s’entretenait des belles choses en général, et surtout des choses de l’esprit exercèrent une influence considérable sur les mœurs et la littérature.
En France, les salons littéraires sont des lieux où se rencontrent des personnes instruites pour débattre de sujets philosophiques, politiques et littéraires. De ce mouvement est ainsi nées de nombreuse réflexion, à propos de la politique, de la société et de la littérature notamment .De ce fait, la