caisse de compensation
Devoir surveillé n°4
Branche : Sciences Economiques et de Gestion
Durée : 3 H
Coefficient : 6
Filière : Sciences Economiques
Matière : Economie Générale et Statistique
Professeur : Larbi TAMNINE
Samedi 22 Mars 2014
IMPORTANT :
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La machine à calculer non programmable est autorisée et les calculs justificatifs doivent figurer sur la copie.
DOSSIER I : Marchés et conjoncture économique (8,5 points)
DOCUMENT 1 : Jus de fruits, le secteur a du punch
[...] «La consommation des jus au Maroc reste impactée par la saisonnalité. On remarque que la période estivale et le Ramadan représentent une part non négligeable dans la consommation des jus de fruits emballés. Pour Ramadan, elle représente près de 25% des ventes annuelles», affirme Abdelmounim El
Eulj, directeur général de Moroccan food processing, une société qui produit la marque phare Al
Boustane. Du coup, les majors du secteur se mettent en ordre de bataille pour être au rendez-vous et conquérir des parts de marché : Coca-Cola (Miami), le groupe El Alj (Al Boustane), Citruma
(Marrakech), Agro Juice Processing (Valencia) ou encore Jaouda (Sélection de fruits, Monjus et Nectary), les poids lourds redoublent en effet d’efforts pour séduire une plus large clientèle. Une opération qui passe par la mise en place d’un plan d’attaque sur le plan marketing et communication.
En termes de consommation, les Marocains ne sont pas encore très friands de jus de fruits industrialisés.
En tout cas, en comparaison avec les pays de la région, le royaume arrive en bas du classement au
Maghreb. Selon une étude réalisée par le cabinet Nielsen en 2010, la consommation par habitant ne dépasse guère les 4 litres par an, contre 10 litres en Algérie et 8 en Tunisie. Au total, la consommation globale de jus conditionné ne dépasse pas les 108 millions de