Camus - l'etranger résumé
I
Sa mère, une soixantaine d’années, qui logeait à l’asile à Merengo est morte. C’est à 2 heures d’autobus, près de la mer, à la campagne. Il boit un verre au restaurant de Céleste et emprunte un costume à Emmanuel. Sa mère, Mme Meursault, y était depuis 3 ans. L’enterrement, à 10 heures, se fera religieusement, désir de la mère, pourtant pas pieuse. A la veillée, il ne veut pas la voir. Il y a le concierge de 64 ans, Figeac, qui bosse la depuis 5 ans, parisien, une garde, et viennent les amis de la mère. La lumière est aveuglante. Une se met à pleurer. Ils boivent du café au lait. Les vieillards dorment, puis partent. A l’enterrement qui a lieu au village, à 45 minutes marche sous le soleil ardent, vont le curé, deux enfants de chœur, Thomas Pérez, son « fiancé », 4 hommes noirs et une infirmière. Finalement, il rentre à Alger.
II
Samedi, il prend le tram et va se baigner aux bains du port. Il rencontre Marie Cardona, ancienne dactylo de son bureau dont il avait envie. Ils vont au cinéma, elle dort chez lui mais part avant qu’il se réveil. Ce dimanche, il ne fait rien, traîne dans son appartement trop grand, reste sur le balcon qui donne sur la rue principale du faubourg, et regarde les passants. En face il y a un marchand de tabac et le petit café chez Pierrot.
III
Son patron est aimable avec lui au travil. Avec Emmanuel qui travaille à l’expédition, ils vont chez Céleste manger. Le soir, il rentre directement et croise le vieux Salamano dans l’escalier, son voisin de palier. Il a un chien, un épagneul qui a une maladie de la peau. Après 8 ans ensemble, lui a les mêmes symptômes. Il rencontre son deuxième voisin de palier, Raymond Sintès. On dit qu’il vit de femmes, mais il est magasinier. Il l’invite à manger chez lui. Il se panse la main car il s’est battu avec le frère de sa maîtresse. Raymond payait le loyer et la nourriture à celle-ci, mais elle l’a trompé. Il l’a alors battue, et demande à Meursault de lui écrire une lettre