candide chapitre 17 conclusion
Les récits de voyages sont en vogues au 18 eme siecle et dans tous ses récits on a l'image du bon sauvage dont le bonheur semble inconstestable c'est-à-dire ses voyages font l'éloge de ses peuples enmontrant qu'ils sont simple généreux et surtout libre. Il suivent une loi naturelle qui leur dicte le respect d'autrui comme au.... A partir de là, on utilisel'image du bon sauvage pour donner une leçon de relativisme et critiquer l'ethnocentrique Européen. Remise en cause. Ces récits permettent de dénoncer lepouvoir de l'absolutisme royal et le conformisme social et religieux. Le bon sauvage » un mythe
Le mythe désigne un récit symbolique et figurative qui révèlent une vérité pour satisfaire l'imaginelle collectif. Contrairement à la légende, il ne connaît pas de limites de temps, ni de lieu. Le bon sauvageest un mythe car en proposant l'image d'un homme « parfait », l'Européens exprime sn désir d'un bonheur simple et donc son regret du paradis perdus. jean-François de Lapérouse (1741-1788) partit avec les frégatesAstrolabe et la Boussole pour un grand voyage d’exploration scientifique dans le Pacifique. Louis XVI, ce grand roi de la mer, en avait lui-même tracé le plan, Cap Horn, la côte d’Amérique de l’Alaska à la Californie, le Japon, les mers du Sud… ; ses dernières nouvelles sont datées de son passage à Botany Bay le 15 mars 1788. C’est en 1826