Candide chapitre 6
C'est un chapitre tragique, on évoque un tremblement de terre et Voltaire s'inspire de cet événement pour réfuter la théorie de Lienitizn qui a un gros trou du cul. Voltaire cherche à prouver l'incompétence de cette théorie mais il en profite aussi pour attaquer l'inquisition (tribunal religieux qui fait la police des croyances, organisation pas très souple, et grosse diarrhée bien aigue). Et Voltaire montre divers visages de la bêtise humaine, puis sort son sexe et pisse sur la foule. Pour aborder le texte, on fait une lecture linéaire, puis on l’encule. Il faut le lire avec l'ironie, mais pas oublier de mettre une capote. Ironie absolue sur le terme " sage" dans la mesure où la solution efficace qui propose, ne relève absolument pas des savoirs, ni du proxénétisme.
Un bel autodafé, avec une éjac faciale pour terminer, qui emploi d'un qualificatif esthétique pour spécifier un acte qui n'a rien d'esthétique. C'est un terme intrus, bien profond dans le cul. Texte tragique-comique.
Il était décidé par l'université de Coïmbre : tournure passive, comique car ce " Il", c'est un sujet grammaticale et non un sujet réel, c'est un personnel.
L'université de Coïmbre est une généralité, on nd sait pas qui a décidé ça. Décision aveugle, personne assume la responsabilité en particulier. C'est anonyme et lâche. Ca rend grinçante cette proposition. On a l'impression que c'est un système qui juge, c'est inhumain.
Le spectacle de l'autodafé : ironie ( la mort n'est pas un spectacle et dénonciation du voyeurisme mal sein) Ca n'a rien de divertissent, ce qui vont bruler sont pas à la fête. Infaïble : ironie.
A petit feu : c'est une recette qui nous donne, champ lexical de la cuisine (intrusion) devant l'évocation d'une exécution capitale. Les victimes de cette recette sont des victimes purement arbitraire ( coupable bien fabriqué ; juifs, coupables innocents, sur mesure). Convaincu d'avoir épousé sa commère sous entendu c'est une machination,