Candide ou l'optimisme, quelle leçon de sagesse prodigue voltaire dans candide ?
Dans ce conte, Voltaire cherche à faire prendre conscience aux lecteurs une sagesse particulière. Cette sagesse est divisée en trois critères : le refus des ambitions, le refus des raisonnement stériles et les bienfaits du travail.
I/ Le refus des ambitions
Candide, dès le début du texte montre sa préférence pour une vie simple, notamment il dit : « Ce bon vieillard … des six rois »
Une vie modeste et réglée est plus enviable qu’à celle d’un roi. Il renonce donc à toute ambition de pouvoir et de richesse. De toute façon, il y a un caractère éphémère et aléatoire à une gloire des hommes. Dans le texte, il y a une litanie des rois qui ont subit des malheurs. Cela montre que le fait d’être puissant et riche ne fait rien. Référence au chapitre XXVI : les rois déchus. Par contraste, la vie simple dans la métairie est valorisée.
II/ Le refus des raisonnements stériles
Il ne s’agit pas pour Voltaire de s’opposer à toute forme de raisonnement puisque Candide au début du texte est plongé dans de profondes réflexions. Il s’agit plutôt d’une pensée nourrie d’expériences et d’observations. Ce qui est par exemple rejeté est le discours de Pangloss et des métaphysiques qui a une tendance affirmée à bavarder, à brasser des idées, à délayer. Et ses pensées débouchent toujours sur une action cohérente. D’ailleurs, Pangloss ne travaille pas. Dans le second discours, on voit bien qu’il n a pas renoncé à l’absurdité et à l’incohérence. Critique des raisonnements interminables sur des questions métaphysiques. Pangloss use encore de la terminologie optimiste quand il parle du meilleur des mondes