"Candide ou l'Optimisme" : Chapitre XXX de "Vous devez avoir,..." jusqu'à la fin.
Au XVIII° siècle, Voltaire est sans aucun doute l'un des plus grand philosophes de son temps. A l'époque des lumières, le savoir se répand parmi les érudits, à savoir, les philosophes, les écrivains, les monarques,... Voltaire partipe à cette libération des esprits en disséminant ses connaissaces au travers ses oeuvres. Plublié tardivement, "Candide" est un conte qui connait pourtant un succès considérable. Voltaire y attaque la philosophie optimiste de Leibniz et se sert de l'ironie comme d'une arme. Dans le chapitre XXX, qui constitue l'épilogue du conte et donc la fin d'une aventure, la conversation avec un Turc à pour conséquence de faire que Candide change sa vision du monde et commence un nouvelle vie. Cela aura également pour effet de lui faire adopter une nouvelle philosophie à la place de l'éternel optimisme enseigné par Pangloss. Nous allons donc voir comment cet extrait révèle la nouvelle vision du monde de Candide.
Ce passage est présenté comme un épilogue et signe la fin d'une aventure; en s'appuyant sur la morale d'un paysan Turc. Au début de l'extrait, Candide lui rend visite dans sa ferme familliale. Les deux hommes discutent de leurs biens, on constate une éxagération dans le discours du fermier. Ce dernier utilise ainsi l'ironie pour désigner son terrain :"Je n'ai que vingt arpents", cette superficie représentant 7 à 8 hectares. Il explique ensuite sa philosophie, le pragmatisme "le travail éloigne de nous [...] l'ennui, le vice et le besoin". Notons que les protagonistes évoluent dans un second plan selon cette philosophie au point de donner naissance à une nouvelle vie. Tout d'abord, le travail apporte l'équilibre car il exclu tout individualisme et favorise l'activité sociale. A l'indéfini "tout" dans "toute la société entra dans se louable dessein", Voltaire associe l'indéfini "chacun" et montre ainsi que l'interet privé se trouve dans l'intêret