Candide ; voltaire "chapitre 3"
« Rien n’était si beau, si leste, … et n’oubliant jamais Melle Cunégonde »
I. Biographie de l’auteur
Candide l’optimisme est un roman philosophique de voltaire, publié en 1759. Bien que son auteur l’appelle une « petite coïennerie », candide est le plus philosophiques de ces œuvres. Pangloss le maitre à penser du jeune Candide explique que « tout est pour le mieux, dans le meilleur des mondes possibles ». Mais le jeune héros va découvrir à travers la guerre, les catastrophes naturels, l’intolérance et bien d’autres fléaux que l’optimisme ne convient pas toujours. C’est grâce à son pessimisme ironique que voltaire démontre cette thèse dans ce récit argumentatif. II. Lecture orale III. Contexte
Candide est chassé du château du baron TTT, il est enrolé de force dans l’armée Bulgare. Après avoir frolé..
IV. Thème étudié.
La fréquence de la musique militaire galvanise (encourage) les esprits. Enumération : « Trompette, fifres, hautbois, tambour ». La chute de la phrase avec le mot enfer nous fait comprendre que Voltaire n’aime pas la guerre et qu’il utilise un ton ironique. Cette bataille ressemble à un enfer, puisqu’elle produit 30 000 morts.
12.000 (6.000 x 2) Déchiquetés par le Canon
10.000 Tués ou bléssés par balle
8.000 Embrochés par la baïonette
= 30.000 âmes.
Le décompte est macabre et le combat se fait de plus en plus violent jusqu’au corp à corp. * Utilisation du sommaire : * Résumé en quelques lignes d’une bataille qui a duré des heures. Cela montre l’archanements des soldats à tués le maximum d’ennemis en peu de temps. Le récit de la guerre est porteur d’une critique abile contre l’optimisme. Voltaire fait la désinvolture pour mieux choquer le lecteur. Il entretient le flou par des adverbes de quantité ( à peu près ; environ) et par l’expression « Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de miles âmes ». Ici on peut comprendre que l’auteur utilise le language des