Candide - voltaire eldorado chapitre 18
378 mots
2 pages
INTRODUCTIONLa visite d’Eldorado introduit une pause dans le récit jusque là rapide et trépident. Candide et Cacambo contemplent dans l’émerveillement le monde qui apparaît comme le contraire du monde qu'ils connaissent. Cette découverte joue un rôle capital dans l’évolution de Candide.
Vieux pervers se tape une cochonne
Actrices : Haley Sweet
Catégories : Brunes, Culs d’enfer, Fille avec vieux, Jeunes 18+
Baiser avec un homme grisonnant à la hauteur des attentes d'une cochonne et recevoir son doigt dans le cul, voilà une excellente façon d'occuper son après-midi. Cette jolie femme à longs cheveux est à l'aise avec les positions hard alors elle se retrouve à sucer cette teub mature lors d'un 69 xxx. C'est le paroxysme de l'excitation pour ce type quand cette pipeuse lui pompe le gland ! Un pic d'excitation se fait sentir quand cette salope le laisse la pénétrer ! Ce corps-à-corps chaud avec sexe oral et dilatation de chatte est bouillant car cette coquine tatouée est mordue de cul et c'est avec passion et sans entrave qu'elle s'envoie en l'air avec ce pineur qui ne connaît aucun trouble sexuel tant il a une libido démesurée !
ETUDE
I. Une critique d’Eldorado
1. Un monde trop parfait :
- grandeur, énormément de tout : " grands, grandes ", " élevés jusqu’aux nues ", " grandes places ", " mille colonnes ", " deux files mille musiciens chacun ", pluriel
- formes superlatives : " le plus de plaisir ", " jamais on ne fit meilleure chère "
2. Surenchère des détails féeriques.
- Redondances : " les grands officiers et les grandes officières ", " les fontaines d’eau…, fontaine d’eau….". Emploi systématique de " mille ". A la fin, cela n’a plus de sens.
- Clichés qui surchargent : élevés jusqu’aux nues, fontaines d’eau pure, ornés de mille colonnes.
3. Naïveté de Candide et de Cacambo.
- Sur les procédés : si on se jetait à genoux ou ventre à terre, mettait les mains sur la tête ou sur le derrière, si on léchait la poussière.