Candide de voltaire (extrait)
Il n’y a pas de doute, tous les autres étaient en train de jouer aux fers. Longtemps George sembla incapable. Longtemps George sembla incapable d’articuler un mot. Ils se mirent en marche, George s’arrêta un instant auprès de Candy, et tous contemplèrent la fille morte. Le bruit des hommes s’évanouit. L’écurie s’obscurcissait peu à peu, et, dans leurs stalles, les chevaux frottaient les pieds faisaient cliqueter leurs licous. Le vieux Candy se coucha dans le foin et se couvrit les yeux avec son bras P174. George fut énervé de ce qu’avait fait Lennie. Il partit le retrouver dans les buissons. Il n’aurait pas dû jouer aux fers à cheval. Si George ne l’aurait pas laissé tout seul la femme de Curley serait encore vivante. George espérait que Lennie soit au …afficher plus de contenu…
Il devrait mieux se contrôler. George l’interrogea, Lennie lui dit qu’elle voulait que je lui touche les cheveux et elle se mit à crier. George entendait Lennie qui répéta sans cesse je n’aurai pas dû lui parler. Il avait eu peur et il lui avait mis sa main sur sa bouche et il lui brisa les vertèbres. Il n’aurait pas dû lui parlait. George l’avait prévenu plusieurs fois de ne pas lui parler. Lennie voulait que George lui raconte leur rêve. On aura une petite maison, une vache, des lapins avec une luzerne, une grande maison avec un poêle pour se chauffer... George lui demanda ce qu’il allait faire. Il voulait habiter tout seul dans les montagnes. Il voyait ses lapins et il essaya de les attraper, il parla tout seul. George lui demanda s’il allait bien. Lennie lui avait répondu qu’il y avait