Sujet d’invention : A votre tour vous inventerez un apologue qui dénoncera la superstition, soignez la langue (grammaire, orthographe, vocabulaire)
Mettez en œuvre des figures de styles (métaphore, oxymore et antiphrase) énumération avec gradation.

Jadis, j’ai rencontré une famille heureuse qui croquait la vie à pleine de dents et qui n’avait aucun problèmes. La mère me paraissait calme, timide mais très, très naïve. Elle croyait tous se qu’on pouvait lui dire.
Une fois, en parlant avec elle, je lui raconta une de mes mésaventures passées. Un jour, je me trouvais seul dans une ruelle sombre et sans vie où l’on distinguait à peine le bout de la rue ! A ce moment même pendant que j’étais en train de marcher, j’aperçus tout à coup devant moi : un chat noir. Je ne distinguais que ses yeux brillants de mille feux, comme deux lucioles au dessus de la mer. La peur ne m’envahit point. Mais, quelques minutes, après cette rencontre, je passai sous une échelle ; et voilà que je trébuchai sur un trottoir, je me cognai la tête contre un poteau et je me pris un saut d’eau sur la tête. Je me dis alors que cela ne pouvait qu’arriver qu’à moi.
Captivée par mon histoire, cette mère de famille, innocente, me rétorqua par sa crédulité excessive que ce jour-là ne pouvait-être qu’un vendredi 13 : un jour de malchance.
Cette femme me dit d’où venait cette superstition qu’elle avait. Cela remontait à son enfance où la religion avait une grande importance.
En effet, chaque vendredi 13, les familles religieuses ont du mal à sortir afin de ne pas braver les dangers de la vie qui peuvent survenir à chaque heure, à chaque minute et à chaque instant. Pour ces familles-là, un bocal peut devenir le diable, une fourmi se transforme en grands prédateurs, et un simple trou se transforme en gouffre. La vie devient alors noire en ce jour. Ainsi, la méfiance, la maladresse et la prévoyance tournent sans cesse dans leurs têtes. Passer sous une échelle leur est impossible, voir un chat