Candide
Candide est un roman qui se centre autour de la philosophie et la religion. La philosophie et la religion ne sont pas idéales dans les yeux de Voltaire; elles sont peut-être nuisibles. Candide et Pangloss sont aveuglés par la philosophie, mais à la fin, Candide ouvre ses yeux et se rende compte que la philosophie n’est pas pratique dans le monde. Pourtant Pangloss, qui est la victime principale des mensonges de la philosophie, ne peut pas ouvrir ses yeux (en fait, il est vraiment aveugle à cause de la maladie qu’il avait eu) et il reste avec la même mentalité qu’il avait au début du roman. Donc, pour sa philosophie et de sa cécité, les autres souffrent ou meurent. Quant à la religion, c’est les hommes de l’église qui corrompue la religion avec leurs erreurs, et pour ça, ils font souffrir les autres.
La philosophie de Pangloss se centre autour de la phrase ‘‘Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles.’’ C’est ce qu’il enseigne à ses étudiants dans le château de monseigneur le baron quand nous sommes introduits à Pangloss au début de Candide. Cette phrase est aussi la dernière chose qui est dit par Pangloss à la fin du roman. Cela nous montre que sa façon de penser n’a pas changé tout au long du roman; à la fin il a encore la même vue sur la vie et les mêmes idéologies. Pourtant cette philosophie a des fautes qui ne sont pas visibles à Pangloss donc il est aveugle figurativement, et littéralement aussi, parce qu’il perd un œil à la maladie, laquelle il a été infecté par Paquette.
Quelques semaines après qu’il est chassé du château ‘‘à grands coups de pied dans le derrière’’ (Candide, 33), Candide retrouve à Pangloss dans la rue dans un état de pauvreté. Pangloss raconte son histoire et il lui dit que la maladie qui l’avait infectée était ‘‘une chose indispensable dans le meilleur des mondes, un ingrédient nécessaire; car, si Colomb n’avait pas attrapé dans une île de l’Amérique cette maladie