Capetien
Adalbéron de Laon († 1030 ou 1031, abbaye Saint-Vincent de Laon), évêque de Laon de 977 à 1030 est un membre de la maison d'Ardenne et un fils de Régnier, comte de Bastogne, et un neveu de Godefroy le Captif, comte de Verdun et d'Adalbéron archevêque de Reims.
Après avoir commencé ses études à Gorze, il est de 969 à 974 l’élève à Reims de Gerbert d’Aurillac, le futur pape Sylvestre II. Lothaire, roi carolingien de France, le nomme évêque de Laon le 16 janvier 977, après la mort de Roricon survenue le 20 décembre 976. Le 1er avril 977, son oncle l'archevêque Adalbéron de Reims lui donne la consécration épiscopale en la cathédrale de Laon.
La Suzeraineté est une situation dans laquelle une région ou une nation est tributaire d'une entité plus puissante qui permet au tributaire certaines autonomies domestiques limitées pour contrôler ses affaires étrangères. L'entité plus puissante dans la relation de suzeraineté, ou à la tête de l'État de l'entité plus puissante, est appelé le suzerain.
Dans le système féodal, le suzerain est un seigneur qui octroie un fief à son vassal lors de la cérémonie de l'hommage.
Le terme de suzeraineté a été utilisée pour décrire la relation entre l'Empire ottoman et ses régions environnantes. Il diffère de la souveraineté en cela que le tributaire a quelques autonomies de gouvernance limitées.
Bien que ce concept ait existé dans plusieurs empires historiques, il est difficile à décrire avec les théories du droit international du XXe siècle, dans lesquelles la souveraineté existe ou n'existe pas. Alors qu'une nation souveraine peut consentir par traité à devenir le protectorat d'un pouvoir plus fort, le droit international moderne ne reconnaît aucune manière de rendre cette relation théoriquement irrévocable par le pouvoir plus faible.
La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus "supérieur" ; et du concept grec Basileus) est