Caramel
Toutes sortes d’injustices sur sa religion lui arriveront comme lorsque le grand-père d’Hans lui interdit de voir son petit-fils, le mot « Juif » écrit sur la plaque de son médecin, l’interdiction d’acheter dans les magasins Juifs pour les « autres personnes », le propriétaires de leur appartement voulant les exclure, le licenciement de son père en tant que fonctionnaire, le changement d’école obligatoire, interdiction aux Juifs de fréquenter le cinéma ou la piscine…
Malgré tous ces ennuis et ces personnes hostiles, perce quelques petits rayons de soleil comme lorsque le père de Hans, étant du Parti Nazi, prévient les Schneider des risques qu’ils encourent à rester ici, des agressions contre les Juifs étant de plus en plus fréquentes ces derniers temps. Malgré ces recommandations, ils décidèrent de rester, ce qui valut la mort de Mme Schneider qui, un soir, ne survécut pas à une de ces agressions.
Dès lors, pour survivre, Frédéric et son père durent réparés des lampes de toutes sortes, pendant que des mesures de plus en plus strictes étaient prises envers les Juifs. Ils ne pouvaient aimer que les « leurs », devaient porter une étoile jaune cousue sur leur vêtements, un couvre-feu leur fut instauré… Ils vivaient cachés, et par solidarité, cachèrent même un rabbin, prenant encore plus de risques d’être arrêtés. Ce qui arriva un jour…Frédéric se retrouva donc tout seul, obligé de ce caché…La seule chose qu’il demanda au Richter, c’est de récupérer une photo de sa famille, du temps où ils en étaient encore une, du temps où ils étaient heureux…
Puis va suivre une série de bombardements, où tout le monde ira se réfugier à l’abri, refusant l’accès à