Carla bruni
Quand Carla avait six ans, en (1973) dix-neuf cent soixante-treise, la famille quitte l’Italie pour vivre en France par peur des enlèvements des Brigades rouges communistes italienne. La jeune Carla Bruni, encouragée par ses parents, se passionne très tôt pour l'art et la musique et se met à la guitare et au piano. Elle aime bien la littérature et d’écriture, et elle passait par une école en Suisse, puis poursuit des études d’architecture à Paris.
A (19) dix-neuf ans, elle arrête ses études d’architecture et devient l'un des top-modèles les plus recherchés, en cette fin des années (80) quatre-vingts où le corps, les attitudes, les icônes féminines font l'objet d'une absoption mondiale par les sorciers du cuir et du satin. Aux côtés de Naomi Campbell, de Linda Evangelista ou de Karen Mulder, la belle Bruni fait partie de ce pack doré qui plante ses talons aiguilles dans les dollars et les coeurs. Comme mannequin, la grâce de Carla Bruni était sans pareille. Elle défilait pour Christian Dior, Paco Rabanne et Gianni Versace
La taille bien prise, une façon de toiser le public avec un regard de torero laissant traîner sa cape dans la poussière. Il y avait chez elle un côté pensionnaire brûlante, évadée de ces années (50) cinquante, qu'elle n'a pourtant pas connues. Fille bien née, Carla Bruni travaillait déjà plus pour gagner plus. Lors de sa dernière année d'exercice, en (1997) dix-neuf cent quatre-vingt dix-neuf, ses revenus cumulés auraient dépassé les 7 millions de dollars.
Il flotte