Carmen la femme fatale (résumé du livre)
Le récit est en prose et utilise la focalisation interne. Le quatrième et dernier chapitre constitue une rupture stylistique nette, en revenant au discours scientifique qui constituait l'entame du premier chapitre.
Chapitre 2
On retrouve le narrateur une semaine plus tard, menant ses recherches à Cordoue chez les Dominicains. Un soir, il rencontre une belle jeune fille bohémienne nommée Carmencita1, qui lui propose de lui dire son avenir. Ils vont prendre une glace ensemble, puis ils vont au domicile de Carmen, qui est fascinée par sa montre. Un homme entre brusquement : c'est un complice de Carmen, et celle-ci lui enjoint de trancher la gorge du malheureux porteur de montre. Mais il s'agit de Don José, qui s'aperçoit de l'identité du narrateur et le laisse prendre la fuite. Le narrateur s’aperçoit ensuite que Carmen lui a dérobé sa montre mais suite aux paroles de don José il décide de ne pas la poursuivre.
Plusieurs mois après, le narrateur revient à Cordoue et apprend au couvent que Don José a été jeté en prison, soupçonné notamment d'avoir dérobé sa montre, et qu'on va le condamner à mort pour de nombreux autres crimes. Il lui apporte une boîte de cigares et arrive pendant son repas. Il lui propose de l'aider mais Don José avoue qu’une messe lui serait plus utile. Il lui demande aussi d’aller porter une médaille à une femme en Navarre, à Pampelune.
Chapitre 3
Le narrateur revient à la prison le lendemain et apprend toute l'histoire de Don José.
Il s'appelle en réalité Don José Lizarrabengoa, basque né à Elizondo, brigadier de