Cas GGB France
Question 1 :
Les finalités de l’entreprise GGB France sont la finalité sociale et la finalité économique et financière. En effet, cette entreprise a la culture paternaliste a voulu faire bénéficier les salariés d’avancées sociales (salaires, conditions de travail), créer et pérenniser les emplois, effort de formation, épanouissement personnel du salarié. Sur le plan économique et financier, de maximiser les profits et faire du bénéfice et l’une de ses priorité afin de pouvoir s’implanter dans le marcher, de pouvoir concurrencer d’autre entreprise et de pouvoir se développer.
Question 2 :
GGB France, sous-traitant automobile, avait mis en place les équipes autonomes de production (EAP) au début des années 2000. Mais ce modèle organisationnel s’est soldé par un échec aux conséquences multiples.
La raison principale de cet échec a résidé dans l’insuffisance du management de proximité, avec un manager seulement pour 30 opérateurs. Alors que le principe même de l’EAP résidait dans une plus forte autonomie, ce modèle organisationnel se heurtait à la culture d’entreprise très paternaliste de cette entreprise qui laissait peu de place à la responsabilisation.
Les conséquences ont été importantes tant au niveau de la production qu’au niveau humain. L’entreprise a enregistré une baisse de la productivité et une augmentation des défauts qualité source d’insatisfaction de la clientèle. Sur le plan humain ce modèle organisationnel a entrainé une forte démotivation des équipes qui avaient l’impression que leur travail n’était plus reconnu à leur juste valeur.
Question 3 :
Le nouveau modèle d’organisation dite par « chaîne de valeur » se caractérise par la constitution de petites équipes de huit personnes qui sont placées sous l’autorité d’un opérateur leader. Ensuite, un responsable de chaînes de valeur qui encadre trois équipes est nommé. Cette nouvelle organisation associe toute les parties prenantes intervenant sur la chaîne de valeur qu’il