Cas kendec
I. Diagnostic général du management chez KENDEC
A/ Organigramme hiérarchique
B/ Processus de mise en place d’une coordination de la qualité totale chez KENDEC * Rappel : La qualité doit être gérée comme les autres activités de l’entreprise en utilisant les mêmes méthodes de management. L’organisation du processus de qualité est privilégiée par le management de l’organisme et doit être centrée sur le client. Une démarche d’amélioration continue doit être mise en œuvre au niveau global et un niveau de chaque processus.
* LEGENDE : Diagnostic et mise en avant des problèmes de couleur bleue.
1. Situation initiale :
Seul Simon St-Amour, responsable du département de contrôle qualité, se préoccupe des processus de qualité au niveau des produits et des règlementations mais pas d’un point de vue global de la production. * La volonté d’optimisation de la qualité aurait dû, dès le départ, s’axer sur la qualité totale, pour ne pas perdre, ni d’argent, ni de temps, ni de clients.
Michel Desjardins, le vice-président exécutif, n’a aucune connaissance en termes de qualité totale. * Le vice président exécutif est censé appartenir au processus de pilotage qui évalue et décide des apports et modifications à faire au niveau de la qualité, il n’est donc pas normal que Michel Desjardins n’est aucune connaissance ni aucune implication à ce niveau là.
* Michel Desjardins devrait se former un minimum sur la qualité totale car il reste manager et se doit d’être informer sur la performance de la production, et donc sur la qualité pratiquée.
2. Demande du siège :
Le processus de qualité totale doit être mis en place au plus tôt. * D’où une forte nécessité d’employer un collaborateur externe ayant toutes les compétences et capacité à répondre au besoin de l’entreprise ainsi qu’à la demande du siège.
* Plus le contrôle de la qualité totale est pris tard, plus l’entreprise est perdante sur les plans