Cas sodexho
1/ Sodexho est une entreprise performante parce qu’elle a atteint des prévisions initiales, les a même dépasser.
Il y’a eu une hausse du résultat opérationnel de 5,7%, une hausse du chiffre d’Affaire de 4,6% et une croissance organique de 8,4%. 2/ Les dirigeants de SODEXHO se basent sur la méthode du Balanced Scorecard (BSC) pour piloter les performances du groupe.
Ce concept est né dans le début des années 1990 et créer par Robert Kaplan et David Norton. Cette méthode permet l’analyse de la performance sur d’autres indicateurs en plus des indicateurs financiers. 3/ Ils expliquent ses bonnes performances par la dynamique de l’entreprise et la bonne gestion de leurs deux pôles d’activités. Sodexho a une capacité à faire face au renchérissement des coûts matières. Elle dispose de quatre leviers : la politique d’achats, la gestion sur site, l’adaptation de l’offre alimentaire et la possibilité de procéder à des hausses de prix. 4/ La bourse a peur d’une flambée des coûts de matières alimentaires et une plus value des coûts d’exploitations. 5/ Le directeur général de Sodexho, Yann Coléou, préfère avoir recours au tableau de bord prospectif plutôt qu’à un tableau de bord traditionnel parce que le BSC fait le lien entre la vision stratégique et le management opérationnel. Yann Coléou pense qu’on ne peut se baser que sur des indicateurs financiers uniquement. Sodexho a une vingtaine d’autre indicateur lui permettant de définir sa performance.
6/ Yann Coléou utilise le BSC comme outil de management, il fait le lien entre la vision stratégique et le mangement opérationnel. Il élabore pendant une semaine un plan d’action pour l’année. Une vingtaine d’indicateurs clés en ressortent. Ses indicateurs clés sont suivies par au moins un membre du comité. Cela conduit à un management très collectif. Tout le monde est au courant de tout ce que tout le monde fait. Pendant les réunions on ne parle pas trop chiffre mais