Cas pratique droit civil 2ème année
Le juge devra donc trancher et décider du montant des dommages et intérêts puisque les dommages subis sont impossibles à remettre en état par nature.II.1. Le concubin de la victime, se sentant impacté par cet accident souhaite obtenir réparation car il estime que la relation qu’il entretient avec la victime a drastiquement changé depuis l’accident. L’arrêt du 27 juillet 1937 (recherche cour) avait tout d’abord considéré que le concubin ne devait recevoir aucune réparation malgré le fait qu’il pouvait souffrir financièrement ou psychologiquement du dommage subi par sa concubine. Cependant en 1970, on assiste à un revirement de jurisprudence qui autorise désormais le concubin à obtenir réparation si des preuves tangibles d’un potentiel préjudice par ricochet peuvent être