Casques bleus
Monsieur Ban Ki-moon
Secrétaire général des Nations Unies
Suite au visionnement de plusieurs documentaires vus en classe traitant sur le génocide au Rwanda survenu en 1994, je me suis posée plusieurs questions sur le rôle et la pertinence des forces de maintien de la paix de l’Organisation des Nations unies ou autrement dit des Casques bleus lors d’un conflit armé. Voilà donc pourquoi je vous écris cette lettre aujourd’hui pour vous faire part de mon opinion sur ce sujet.
À vrai dire, je suis parfaitement consciente que le but des Casques bleus est de maintenir la paix dans certains pays où la situation est difficile. Toutefois, ces hommes n’ont pas le droit d’utiliser leurs armes afin de cesser les conflits, ce qui me parait absurde. Ils agissent tout simplement comme des fantômes. En d’autres mots, ceci veut dire que leur présence est superflue. En effet, mobiliser les troupes coûte très cher, cet argent perdu pourrait servir à l’OTAN à la place, qui eux peuvent se servir de leurs armes. Contrairement aux Casques bleus, leurs missions sont militaires et non pacifiques. Ils sauvent beaucoup plus de vies et se débarrasse de l’ennemi rapidement.
Quoi qu’il en soit, cette réaction traite sur l’ONU et non sur l’OTAN. Donc, monsieur Ban Ki-moon, je vous avertis immédiatement que les prochaines lignes dénonceront l’inefficacité de vos soldats. Ne soyez surtout pas offensé par mes propos, ayez juste en tête que la vérité fait mal parfois. Tout d’abord, parlons de la mission MINUSTAH en Haïti en opération depuis 2004. La MINUSTAH a été initialement créée dans le but d’aider le Gouvernement provisoire à garantir un climat de sécurité et de stabilité, d’aider à la mise en place des programmes détaillés et durables de désarmement et de surveiller l’évolution de la situation des droits de l’homme dans le pays et d’en rendre compte. Tout semble si beau, mais en réalité plusieurs organisations veillant aux Droits de l’Homme ont accusé