Celestia
Lors de son premier mandat, la société espagnole se modernise à un rythme effréné. Le dirigeant promeut un socialisme fondé sur les droits civils. Outre le divorce express et le mariage homosexuel, il fait voter la loi sur l'égalité, qui oblige les partis à respecter une parité hommes/femmes. Ce féministe engagé en fait le premier dirigeant espagnol à s'entourer d'un gouvernement paritaire. Déplus la Hausse du salaire minimum, loi sur la dépendance... les droits sociaux ne sont pas en reste.
Certaines de ces réformes, comme celle du droit à l'avortement, ont suscité de violentes réactions de la part des secteurs traditionalistes.
En 2008, la crise financière internationale est aggravée en Espagne par la chute de l'immobilier reléguant aux oubliettes sa promesse de ne pas toucher aux acquis sociaux.
En 2010 il dévoile un plan de rigueur : baisse de 5 % des salaires des fonctionnaires, gel des retraites et suppression de l'aide aux parents pour chaque naissance.
Cible des agences de notation anglo-saxonnes, l’Espagne est aussi aujourd’hui méprisée et ignorée.
Sur le plan économique, l’Espagne est ruinée, avec un déficit budgétaire de l’ordre de 9 à 10, 5 millions de chômeurs, trois ans de décroissance et une dette grandissante. L’immobilier facile (le « ladrillo ») a aussi ruiné le pays et les ménages.
On voit en tout cas la ruine et la tiers-mondisation de ville entières, de quartiers pourtant promus patrimoines de l’humanité. Les grandes églises de Séville et de Grenade sont toutes à l’abandon, ainsi qu’une déchristianisation du pays.
Más allá de todo juicio sobre el balance de la política de Zapatero comprobamos que la casi totalidad de las reformas puestas en ejecución son de tipo social (matrimonio gay por ejemplo), o sea