Cge le foot pour le meilleur et pour le pire
« Le foot, pour le meilleur et pour le pire »
Le football est aujourd’hui en France le premier sport pratiqué et compte de nombreux adeptes. Pourtant il existe dans ce sport des débordements ; mais peut-on dire que le football conduit a la violence ? Pour répondre à cette question, je vais m’appuyer sur le groupement de texte qui est composé d’un roman, de L. MAUVINIER, Dans la foule ; d’un essai de P. YONNET, Huit leçons sur le sport ; d’un article extrait du magazine Le Point « Que reste-t-il de la France Black-Blanc-Beur ? » et enfin d’une photographie de Daniel GARCIA « Des supportes français célèbrent au stade de France de Saint-Denis le 12 juillet la victoire de la Coupe du Monde 98 France – Brésil 3-0. » Dans une première partie, je vais montrer que le football permet avant tout de rassembler la foule, puis j’aborderai le fait que le football peut en effet être source de violence.
Tout d’abord, le football provoque une grande joie aux supporters lors d’une victoire ou bien d’un beau parcours dans une compétition. En effet, l’exemple le plus parlant est celui de la victoire de la coupe du monde 1998, qui est d’ailleurs repris dans les écrits de Paul YONNET et d’Emmanuel BARRANGUET. Grâce à cet événement les supporters se sont rassembler dans la joie et ont fêté cette victoire dans les rues de nombreuses villes. L’enthousiasme de ces supporters est bien visible dans la photographie de Daniel GARCIA. Nous pouvons observer les visages maquillés et les personnes crier de joie, prêtes à faire la fête toute la nuit. De plus, ces évènements contribuent aussi à faire communier tous les supporters, il s’agit d’une union nationale. Ainsi, comme le souligne E. BARRANGUET dans son article, cet « bel élan unanime a salué la victoire d’un Etat-nation, d’un modèle d’intégration, pas seulement de son équipe ». Cette victoire a donc en plus emmené les français à défendre des valeurs