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Le musée Marius-Barbeau est un musée qui retrace l’histoire de la région beauceronne. Ce musée fut créé en 1978 par Robert Cliche et Madeleine Champagne. Les premiers objets à être exposé dans le musée furent des objets donnés par la population beauceronne ce qui leur as permis de faire la première exposition en 1983. En 1989, le musée atteint un niveau économique important et il est le 40e musée à être reconnu au Canada et le dernier à l’être. Ce texte permettra de vous faire connaître ce musée, de présenter le portrait de l’histoire régionale en Beauce, les valeurs, les traditions et les coutumes des beaucerons. De plus que les obstacles ou contraintes qu’ils ont dû affronter pendant le développement du territoire. Ensuite, j’indiquerai l’importance du musée dans le développement touristique en Beauce.
Au 18e siècle, St-joseph, Beauceville et St-Marie possède chacun un seigneur. Les terres sont bornés avec de la roche et chaque seigneur à des devoirs. Il doit tout d’abord diviser sa seigneurie, donne un lieu pour faire moudre la farine, donne accès à un moulin à scie de développer ses chemins. Pour le censitaire, il doit payer une part au seigneur s’il veut rester sur sa terre et il est également responsable du développement de sa terre. Sous le régime anglais, les terres sont divisées en cantons et en rang. La mesure du poids d’un sac de farine se faisait à l’aide d’une roche qu’on installait d’un côté de la balance. Ensuite, les peuples abénakis étaient installés sur le territoire avant nous, il vivait dans le Maine, environ 80% des beaucerons ont du sang autochtones. La Beauce n’est pas reconnue pour être accueillante avec les immigrants, ils n’aimaient pas le mariage avec des étrangers. Beaucoup d’irlandais viennent d’installer ici, la vallée est française, mais les alentours sont anglais. À cette époque, pour savoir si une jeune fille était prête à se marier, elle devait allumer un feu à l’aide de deux roches de silex ainsi qu’un