Chapitre après chapitre rapport de brodek
I 11-18
Début énigmatique (confus et elliptique) : Brodeck déclare qu’il n’y est pour rien mais qu’il doit écrire (à la demande des autres) – fait allusion à « De
Anderer » et à l’Ereigniës – puis évoque : les lieux importants du village, dont l’auberge Schloss (et la confrérie de l’Éveil) ; le maire Hans Orschwir ; l’instituteur Diodème ; Fédorine, Poupchette et Émélia – retour sur le soir de l’Ereigniës. II 19-25
Quand Brodeck est entré à l’auberge ce soir-là, juste après l’Ereigniës – commande du rapport – repense à l’automne dernier (= 1 an après la guerre et 3 mois après l’arrivée de l’Anderer) – souvenirs de l’Anderer et de sa chambre.
III 26-31
Le Kazerskwir (= « le cratère ») – la vieille Fédorine (qui l’a soigné au retour du Kazerskwir) – comment Fédorine et Brodeck se sont rencontrés – pour survivre dans le camp, accepter les humiliations « Chien Brodeck », en pensant à Émilia – « Tous sont morts. Sauf moi ».
IV 32-42
Le lendemain matin après l’Ereigniës – le voisin Göbbler – la maison d’Orschwir et sa poterne, à l’entrée : Böden und Herz geliecht = « Ventre et cœur réunis » – repense à Diodème : souvenirs d’avant-guerre ; Diodème romancier
(lit à Brodeck des pages de son dernier roman).
V 43-51
Brodeck se rend chez Orschwir et lui annonce qu’il veut voir le corps – Avertissements d’Orschwir, qui mène Brodeck jusqu’à sa porcherie – (allusion aux
Fratergekeime, « les hommes qui m’ont fait devenir animal ») – les trois âges de la vie chez les porcs [= apologue].
VI 52-58
Brodeck sent monter la peur ; la vision tenace des porcs – le café de la mère
Pitz – Brodeck s’interroge sur l’objectif du rapport – le fantôme de l’Anderer
[= on comprend de mieux en mieux qu’il a été assassiné] – les saints i nissent en martyr.
VII
59-65
Arrivée de l’Anderer
Fritz Aschenbach ne dit plus bonjour – l’arrivée de l’Anderer (13 mai ; presque un an) en curieux équipage – le témoignage de Gunther Beckenfür – il vient