Chine, socialisme moderne
I. Une réussite due à la mise en place d’une économie de marché ouverte sur le monde
Dès la sortie de l’autarcie = une phase de dynamisme sans précédent !
• L’atelier du monde : Il faut voir que la Chine renoue avec le monde au moment ou celui-ci abat les frontière qui le divisait car nous sommes en sorti de guerre froide. Ainsi la Chine se trouva dans un contexte géopolitique favorable. Alors son ouverture fût tout de suit payante, bénéficiant d’un potentiel de main d’œuvre inépuisable elle profite de coût de production 35 fois inférieurs à ceux des EUA par exemple, elle devint petit à petit l’atelier du monde. Chose qui lui permet d’engranger des bénéfices extraordinaire et de conclure des accords commerciaux tout de suite.
• Premier récepteur d’IDE : Dès lors que celle-ci propose des coûts de production faible, elle devient un paradis pour toute entreprise qui souhaite délocaliser. Très vite elle va devenir le premier récepteur d’IDE dans le monde (surtout en provenance de Taïwan) et un nombre extraordinaire d’entreprise vont s’y implanter.
• « La banque du monde » : Avec une telle évolution il s’avère que la Chine, qui ne cesse de se hisser dans le peloton de tête des puissances économiques mondiales, engrange les devises étrangères au point d’être maintenant nommé « la banque du monde ».
• Commerce extérieur : le commerce extérieur progresse de15% par an en moyenne entre 1978 (date de début des réformes) à 2001. Ainsi dès son ouverture, les échanges extérieurs de la Chine prennent une importance croissante dans l’économie. Ceci avec des exportations qui atteignent près de 22% du PIB en 2001. Grâce au dynamisme de ses exportations (autrement dit grâce à son ouverture au monde), au cours des années 1990, le Chine assure un excédent commercial structurel et massif !
⇒ Ainsi la politique économique suivi depuis un quart