Chkejghdghdgvk
L'aspect plaisant
Même si tous les films n'ont pas un but commercial, ils doivent tout de même engranger assez d'argent pour permettre au producteur de ne pas perdre son investissement. Ainsi, ils doivent plaire au spectateur et surtout réussir à le convaincre d'aller acheter sa place.
Du coup, l'action est concentrée, et de multiple ellipses sont faites. On ne voit jamais les personnages dans leurs vies quotidiennes, on ne voit jamais les déplacements des héros dans la ville car le spectateur se lasserait vite. Ces passages ne sont bien sûr pas important pour suivre l'histoire, mais c'est bel et bien une déformation de la vie réelle.
B. Universalité des problèmes.
Dans le film de Tim Burton quand les sbires du Pingouin attaquent la mairie de Gotham, lors du discourt des vœux de Noël du maire, il n'y a pas que le maire qui se fait attaquer, mais des milliers de citoyens amassés devant la mairie, présents malgré la neige et le froid.
C'est encore plus visible dans le film de Nolan, car la folie du Joker pousse l'ensemble de la ville à l'évacuation. Gotham étant quand même une mégapole de plusieurs millions d'habitants, la logistique demandée est immense. Des bus scolaires sont affrétés pour l'occasion. C'est lors de cette évacuation que l'on peut voir une des séquences majeures du film : deux bateaux réquisitionnés pour l'occasion sont plein à craquer, l'un de citoyens "classiques", de tous âgés et de tous sexes. L'autre bateau, quant à lui, est prévu pour évacuer les prisonniers de la