choix des investissements
L'éclatement de la bulle financière liée aux NT (Nouvelles technologies), les évènements du 11 septembre ainsi que le fort ralentissement de l'activité économique mondiale ont catalysé un certain nombre de dysfonctionnements, d'erreurs, voire de fautes dans les entreprises.
Certaines, parmi les plus importantes cotations boursières, se sont retrouvées en cessation de paiement, ou ont vu leurs dirigeants démissionner. Les plus connues sont Worlcom ,Enron, Vivendi Universal, France Telecom.
Les comptes sont en effet la partie « visible » de l'entreprise.
Concernant la communication, la règle d'or est la transparence. Cet exercice est délicat, surtout lorsqu'il s'agit de présenter un développement stratégique ou un positionnement concurrentiel. Cependant, c'est le prix à payer pour conserver la confiance des partenaires indispensables à l'entreprise que sont les actionnaires, les banquiers, les investisseurs institutionnels et les agences de notation.
Concernant les choix majeurs qui peuvent conduire l'entreprise au sommet, mais aussi à l'échec fatal, ne doivent-ils pas être arrêtés contradictoirement par l'équipe de direction plutôt que par un seul homme, le président ?
On peut également se poser la question de la pertinence et de l'équité des plans de « stock-options », lorsqu'ils sont sans grand rapport avec la création de valeur pour l'entreprise et ses actionnaires.
Gosseries (1998) associe le concept d’éthique de l’environnement à celui de protection de l’environnement. Or, ce dernier prit au sens large, recouvre plusieurs objectifs, comme : la sauvegarde d’un environnement non pollué (protection de l’environnement au sens strict), naturel (conservation de la nature) et diversifié (sauvegarde de la biodiversité). De plus cet auteur assigne une triple tâche à l’éthique de l’environnement :
Éthique de l’entreprise : réalité ou illusion ?
1. Éthique individuelle au sein de l’entreprise
Cet atelier