Chose vue un jour de printemps Au XIXème siècle, les inégalités sociales étaient fortement marquées. Selon la classe sociale où les personnes étaient il y avait de grandes différences de vie. C'est ainsi que Victor Hugo écrivit le poème "Chose vue un jour de printemps" qui fait partie du mouvement littéraire romantique. Ce poème est extrait du recueil les Contemplations, du livre troisième "Les luttes et les rêves" qui est le livre où Victor Hugo dénonce le plus la misère et les conditions de vie …afficher plus de contenu…

D'abord lors de la mort du mari qui laisse sa femme seule "avec la misère et les quatre enfants qu'elle a."v.20, car c'est une période dur autant pour les enfants que pour la mère, qui doit gagner beaucoup plus d'argent maintenant qu'elle est seule. L'enjambement du vers 19 au vers 20 montre que tout s'est passé très vite, qu'il n'y a pas eu de pause entre le moment où le mari a attrapé le choléra et le moment où il est mort. Elle est devenue veuve du jour au lendemain et a dû redoubler d'efforts en très peu de temps. Ensuite, les conditions de mort de la mère étaient très médiocre même inexistantes, lors de sa mort, elle était chez elle dans un lieu "lugubre"v.3 "sur le grabat" v.4 qui est un lit mais misérable donc qui est assez mauvais pour pouvoir mourir paisiblement et même dormir avant d'y …afficher plus de contenu…

Lors de la mort, une personne entre dans la pièce, c'est un "je" qui pourrait faire penser que le narrateur a un point de vue interne et donc que la personne pourrait être Victor Hugo. Pour finir, malgré sa mort on dirait qu'elle fait toujours comme si de rien était, on pouvait voir "Aux lèvres de la morte un sinistre sourire" v.9; ce qui prouve qu'elle ne voulait pas laisser ses quatre enfants seuls sachant que 'l'ainé, n'avait que six ans" v.10. L'image donnée par le narrateur de la femme est une mère quittant ses enfants mais qui montre qu'elle est quand même heureuse d'être entouré d'eux car elle sourit. De plus, on pourrait croire qu'elle ne les quitte pas vraiment car elle sourit, ce qui n'est pas un trait de mort mais de joie et de