chute libre
On distingue la simple chute dans un champ de pesanteur uniforme au voisinage de la Terre (Galilée, 1605), et la chute céleste (Lois de Kepler), dont Isaac Newton a fait la synthèse en 1687. Pour le cas où l'on considère la résistance de l'air, on parle de chute avec résistance de l'air.
Exemples de chutes libres proches[modifier | modifier le code]la chute libre de deux sphères d'égal diamètre, une pleine l'autre creuse, par Galilée (1602), depuis la tour de Pise, d'après la légende. la pomme d'Isaac Newton (1665) qui tombe de l'arbre, une légende également très célèbre. l'expérience du tube de Newton. un ascenseur dont on aurait coupé le câble de suspension (tour d'impesanteur). un Airbus Zero G. une Caravelle 0-G.
Par opposition, des cas où d'autres forces que la pesanteur sont également présentes et doivent être prises en compte pour décrire le mouvement de l'objet, sont présentés ci-après :
objet reposant sur une surface, par exemple horizontale : cas pour lequel la force exercée par cette surface compense le poids et agit de telle sorte que la force totale force résultante soit nulle, ne communiquant pas d'accélération à l'objet. avion ou feuille de papier planant : dans ces systèmes les forces de friction exercées par l'air sur l'objet jouent un rôle fondamental.
Chute ralentie[modifier | modifier le code]On peut aussi, comme l'a fait astucieusement Galilée, opérer une chute ralentie, pour mieux observer le mouvement : chute d'un palet sur du verglas incliné d'un angle α, chute sur des plans