Les cinq leçons de la psychanalyse
Sigmund. F : Cinq leçons sur la psychanalyse, Petite Bibliothèque Payot, 1924.
I. Première leçon (p : 9)
II. Deuxième leçon (p : 27)
III. Troisième leçon (p : 39)
IV. Quatrième leçon (p : 57)
V. Cinquième leçon (p : 71)
VI. Contribution à l’histoire du mouvement psychanalytique :
Chapitre premier (p : 83)
Chapitre II (p : 113)
Chapitre III (p : 145)
188 pages
P : 9 Observation du Dr. Breuer. « J’étais encore étudiant, absorbé par la préparation de mes derniers examens […] ce procédé au traitement d’une jeune fille hystérique. »
P : 10 Freud fais la description des différents symptômes de la jeune de 21 ans : « La malade du Dr. Breuer était une jeune fille […] sa maladie une série de troubles physiques et mentaux plus ou moins graves. »
« Elle présenta une contracture des deux extrémités droites avec anesthésie […] ; trouble des mouvements des yeux et perturbations multiples de la capacité visuelle… ».
Ces troubles sont probablement dus à des chocs affectifs qui ce sont passé à un moment précis dans la vie.
P : 11 « […] les médecins grecs donnaient déjà le nom d’hystérie, état capable de simuler tous un ensemble de troubles graves,… ».
P : 14 La malade donna comme nom à sa maladie « talking cure » ou aussi « chimney sweeping ».
Les symptômes sont dus à des chocs émotionnels refoulés.
P : 19 Freud fait une métaphore en utilisant les monuments des grandes villes qui sont représentent des événements important de l’histoire des années précédentes et souvent ceci est oublié par les personnes, donc les symptômes sont provoqués dus aux évènements psychiques antérieurs.
Les symptômes sont dus à des processus inconscient.
P : 23 « Des cas de ce genre, que l’on appelle « double conscience », peuvent, à l’occasion de se présenter spontanément à l’observation. […] la conscience reste constamment liée à l’un des deux états, on nomme cet état : l’état