Citation zola l'argent
1 : Force économique
1«et, de ces ruines chaudes encore, elle sentait déjà germer, s'épanouir au soleil toute une floraison. »(493)
2« « Et, dans ces plaines dépeuplées, ces cols déserts, que nos lignes ferrées traverseront, vous verrez toute une résurrection, …..la vie enfin revenir comme elle revient à un corps malade, lorsque dans les veines appauvries, on active la circulation d'un sang nouveau...Oui : l'argent fera des prodiges. Et, devant l'évocation de cette voix perçante, Mme Caroline voyait réellement se lever la civilisation prédite. L'argent, aidant la science, faisait le progrès.» (94-95).
3« Déjà la moisson des hommes et des grandes choses futures était semée, tout germait, ce serait avant quelques années un monde nouveau.» (282).
2 : Force sociale et politique
4« un commencement de cité qui allait jaillir» (281).
5 « Et n'est-ce pas une manière pratique de trancher l'éternelle et encombrante question d'Orient, en intéressant l'empire à de grands travaux civilisateurs, en l'amenant au progrès, pour qu'il ne fût plus cette monstrueuse borne, plantée entre l'Europe et l'Asie ?» (98).
6« Lorsque Saccard, triomphal, traversa la pièce, ayant à son bras Mme de Jeumont, et suivi du mari, le comte de Bismarck s'interrompit de rire un instant, en bon géant goguenard, pour les regarder curieusement passer.» (326).
7«L'argent, aidant la science, faisait le progrès.» (94-95).
8«Était-ce possible que l'existence; si dure à l'enfant de hasard, là-bas, dans le cloaque de la cité de Naples, se fût montrée si prodigue, pour celui-ci, au milieu de cette savante richesse ? L'argent serait-il donc l'éducation, la santé, l'intelligence ? Et, si la même boue humaine restait dessous, toute la civilisation n'était-elle pas dans cette supériorité de sentir bon et de bien vivre ?» (194).
3 : Force vitale
10« la Bourse d'une heure à trois, bat comme un cœur énorme, au milieu.».
11« Du matin au soir, les