1.Désir du mal
L. Macbeth : « Ah venez, vous esprits/Qui veillez aux pensées mortelles, faites-moi/Sans mon sexe, et du front à l’orteil comblez-moi/De la pire cruauté ! faites mon sang épais,/A la pitié interdisez accès et passage/Afin que nul mouvement sensible de la nature/N’ébranle mon dessein sinistre […]. Arrive donc, épaisse nuit, /Enveloppe-toi des fumées les plus sinistres de l’enfer ».

2.Beauté du mal
Macbeth : « La destruction a produit son chef-d’œuvre! »

3.Puissance du mal et ses conséquences
Banquo « Et bien souvent pour nous gagner à notre perte/Les puissances obscures nous disent le vrai,/Nous gagnent par futilités honnêtes, pour nous trahir/Dans les plus graves circonstances »

L. Macbeth :« tu voudrais être grand […] mais sans que t’aide/Le mal »

Lady Macbeth :« On n’a plus rien, tout dépensé/Quand le désir est assouvi sans satisfaire./Plus sûr est d’être ça que nous détruisons/Que, de destruction, tirer la joie douteuse. »

Macbeth « Choses commencées dans le mal/Prennent force en soi par le mal »

Macbeth « Il y aura du sang, on dit : sang veut du sang. »

4.Le mal et l’homme
4.1.Déshumanisation
Macbeth :« J’ose tout ce qui peut convenir à un homme ;/Qui ose plus n’en est pas un. »

Macduff : « Horreur ! horreur ! horreur ! La langue ni le cœur/Ne peuvent te penser ni te nommer. »

4.2.
Lady Macbeth « S’il n’avait ressemblé/A mon père quand il dormait, je l’aurais fait. »

Le vieillard « Bénédiction de Dieu sur vous et sur ceux-ci/Qui changent mal en bien, ennemis en amis »

4.3.Remord
Macbeth : « J’ai l’horreur de penser à cela que j’ai fait »

5.Omniprésence du mal et naturalité
« Le clair est noir et le noir est clair »

Banquo « Vous, puissances bienfaisantes,/Refoulez en moi les pensées mauvaises que nature/Libère dans notre sommeil. »

Le vieillard « Contre nature,/Comme l’action qui fut faite. »

Lady Macduff : « Je n’ai fait aucun mal. Je me souviens soudain/Que je me trouve en ce bas monde : où