Vient après les cadres d’organisation. Logique dans un contexte oligarchique.
Des droits politiques (purement théoriques en dehors de l’aristocratie). Personne ne se présente aux élections s’il n’a pas au minimum 80 000 cesterces de patrimoine (Il y a des choses non écrites dans la vie républicaine romaine). Droit de vote noyé dans les cadres collectifs (tribus, ...)
Pouvoir de participer à certains jugements pour les Sénateurs. A la fin de la république, pour les chevaliers également.
Des droits civils (beaucoup plus substantiels). L’immoralité peut vous valoir la radiation par le Sénat.
Ne pas subir de tortures, ... / Droit d’intenter une action en justice.
Droit d’appel devant une juridiction populaire. Droit de propriété foncière et d’activité économique libre (jus comercii ou commercii). Droit de se marier avec un citoyen ou une citoyenne (jus conubii ou connubii).
Dans les années 80 avant JC, Sylla, invente la proscription. = Vous êtes des ennemis du pouvoir en place, vous n’avez plus la protection des lois, donc on peut vous tuer c’est légitime. En cas de crise.
A partir de -167, exemption du Tributum (= contribution), l’impôt direct. Devient la marque du vaincu, les citoyens sont dispensé, et seuls les peuples soumis doivent le payer.
Monopole des distributions sur et subventions de la nourriture.
Devoir militaire, proportionnel à la fortune et au poids politique qu’on en retire. Les citoyens romains sont les seuls à accéder aux corps d’élite que constitue la légion romaine. Seuls les citoyens peuvent être gradés. (= la contrepartie des privilèges)
Les pauvres sont exemptés du service militaire. (Professionnalisation de l’armée= fin du 2ème siècle avant JC.)
Payer des impôts spécifiques (sur les successions). / Se soumettre au recensement (census) quinquennal. Obligation gratuite. A partir du recensement, les citoyens sont répartis dans les classes censitaires et éventuellement à partir du recensement on peut vous répartir notamment dans