séance 04 le questionnaire
CORRIGE
CHOISIS TES QUESTIONS POUR OBTENIR UNE NOTE SUR 20
LES QUESTIONS SANS PRECISION DE BAREME VALENT 1 POINT
INFLUENCES
cinéaste : Robert Bresson le journal d’un curé de campagne 1951 (N/B, austérité, silences, personnage filmé rédigeant son journal) histoire : adaptée d’un document : les Mémoires de Jean Itard contexte historique : 1893, c’est l’époque du Directoire (Révolution), les débuts de la psychiatrie avec à Bicêtre les travaux du professeur Pinel sur les fous, Institut des Sourds-Muets aux Batignolles, rien sur la pédagogie moderne : Itard est un précurseur. biographique : Truffaut fut un « sauvageon » comme le petit Antoine Doinel du film les 400 coups (1959) qui le rendit célèbre et lança la « Nouvelle Vague » du cinéma français.
1°) Sur quelles techniques le réalisateur joue-t-il pour donner l’impression de relater des faits anciens ? cites-en une le choix du N/B, les ouvertures/fermetures à l’iris, le carton du début, pour rappeler les films muets .

 CONSTRUCTION : GENERIQUE, PREGENERIQUE, GENERIQUE DE FIN
2°) comment commence le film ? par le générique
3°) que contient le prégénérique ?il n’y en a pas (seule une dédicace à Jean-Pierre Léaud, le jeune Antoine des « 400 coups »
4°) on appelle un « carton » un texte sur fond noir comme les inter-titres dans les films muets : quand y-a-t-il un carton et que nous apprend-il ? la toute première image, information spatio-temporelle.
5°) quelles informations nous apporte le générique de fin ? le nom des acteurs, du scénariste, adaptation et dialogues, les sources « d’après Mémoire et Rapport sur Victor de l’Aveyron »

CONSTRUCTION : LE SEQUENCAGE il s’agit de la mise en images du journal d’un professeur relatant l’apprentissage de son élève,Victor

6°) après le générique, par quoi commence le film ? un « carton » noir précisant « cette histoire est authentique ; elle commence dans une forêt française un jour de l’été 1798 ».
7°) par quel